Nous voici de retour dans le village où nous avions laissé les motos. Le voyage en taxi collectif fût  assez long car le chauffeur fait office de boulanger, de facteur ,  de pharmacien et j’en oublie. Trois heures et demi de souffrance. Il y a pire, je le conçois.

L’arrivée à l’hôtel fût un moment intense en émotions pour plusieurs raisons. Nous étions attendus bras ouverts par la famille qui tient l’hôtel. Je ne sais pas qui étaient les plus émus. Eux ou nous. Nous sentions avec beaucoup de joie qu’il fallait que l’on raconte immédiatement nos quatre jours dans la grande capitale. Ce fut chose faite dans la minute, preuve a l’appui  avec le papier du ministère des douanes. Ils tenaient absolument à le voir, le toucher.

Ambiance du soir au village

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C’est aussi avec beaucoup  d’émotion que nous retrouvâmes nos vaillantes montures fraiches et dispo.

Quelques photos de notre lieu de villégiature.